Jessica, 16 ans, se réveille dans un marécage artificiel aux dangers
bien réels. Très vite, elle comprend qu'elle se trouve au sous-sol d'une
étrange tour sans fenêtres, et que le seul moyen d'en sortir est de
monter jusqu'au toit. Accompagnée de quelques autres jeunes, elle se
lance dans l'ascension de sa vie, explorant chaque niveau, affrontant
les dangers embusqués… Et les révélations. Car Jessica n'a plus aucun
souvenir d’avant son arrivée ici. Ils lui reviennent par bribes, étage
après étage, et plus elle en apprend, moins elle désire sortir – surtout
que son pire ennemi se trouve à l’intérieur avec elle. Bientôt, l'envie
de se venger prend le pas sur l'envie de s’échapper… Et si en exhumant
les secrets de son passé, Jessica levait aussi le voile sur la véritable
fonction de La Tour ?
_____________________________________________________________
Cécile Duquenne est un auteur que je voulais absolument découvrir. N’ayant pas encore pu sauter le pas avec Les foulards rouges, publié chez Bagrelonne, je n’ai pas su résister à la couverture énigmatique, particulièrement sublime et intrigante de La Tour !
Après lecture, je trouve que cette couverture représente parfaitement l’histoire : c’est sombre, intrigant et mystérieux à souhait. J’ai littéralement dévoré cette nouvelle (c’est même le seule reproche que je peux lui faire, c’est que c’est une nouvelle et par définition c’est trop court, surtout à mes yeux, j’en redemande.)
Comme vous pouvez le constater, La Tour a été une excellente, agréable découverte, une réelle surprise ! J’ai eu un coup de cœur pour ce petit survival d’une centaine de pages, vraiment réussi !
Une histoire un peu courte mais quasiment parfaite, que ce soit au niveau du rythme, de l’ambiance, des personnages ou de l’histoire en elle-même. L’auteur nous entraîne dans une ascension particulièrement prenante, bien rythmée, sans temps mort.
C’est dans l'ambiance froide, oppressante de cette énigmatique tour que nous faisons la connaissance de Jess, notre héroïne partiellement amnésique, qui se réveille dans un marécage plutôt inquiétant avec pour seul pressentiment de fuir ce lieu où les dangers sont bien réels, le sentiment de sauver sa vie.
Dès le début, le ton est donné, Cécile Duquenne ne fait pas dans la demi-mesure, rien ne vous sera épargné, alors bienvenue dans la sinistre tour. Elle nous entraîne dans un univers de plus en plus dangereux, dans un jeu un peu pervers sur les bords entre la tour et la protagoniste. Chaque étage a le droit à son lot d’épreuves, de révélations, le tout dans une ambiance lugubre, mystérieuse comme j'aime. Un style vif, incisif, fluide et agréable, elle va droit au but sans aucune fioriture.
Si l’ambiance et l’histoire sont vraiment réussies, les personnages le sont aussi. Ces derniers sont vraiment bien travaillés, ils sont réalistes, imparfaits mais surtout attachants. J’aime ce genre de personnages, perturbés et faillibles. J’ai adoré Jessica qui a beaucoup de mordant. On sent une partie sombre en elle, tout comme une certaine fragilité. Cela crée une certaine complexité qui fait qu’on s’attache facilement à elle. On veut la voir gravir chaque étage, on veut vivre chaque épreuve avec elle.
La Tour de Cécile Duquenne est un « roman » qui enivre les sens, vous entraine dans une ambiance parfaitement angoissante, dans un rythme endiablée mais qui donne matière à réfléchir. J’ai vraiment pris plaisir à découvrir cette histoire, la tour reste encore intrigante, j’aimerais suivre une nouvelle ascension aussi addictive. En tout cas, Cécile Duquenne est un auteur que je vais continuer à suivre, son style m’ayant vraiment séduite.
Après lecture, je trouve que cette couverture représente parfaitement l’histoire : c’est sombre, intrigant et mystérieux à souhait. J’ai littéralement dévoré cette nouvelle (c’est même le seule reproche que je peux lui faire, c’est que c’est une nouvelle et par définition c’est trop court, surtout à mes yeux, j’en redemande.)
Comme vous pouvez le constater, La Tour a été une excellente, agréable découverte, une réelle surprise ! J’ai eu un coup de cœur pour ce petit survival d’une centaine de pages, vraiment réussi !
Une histoire un peu courte mais quasiment parfaite, que ce soit au niveau du rythme, de l’ambiance, des personnages ou de l’histoire en elle-même. L’auteur nous entraîne dans une ascension particulièrement prenante, bien rythmée, sans temps mort.
C’est dans l'ambiance froide, oppressante de cette énigmatique tour que nous faisons la connaissance de Jess, notre héroïne partiellement amnésique, qui se réveille dans un marécage plutôt inquiétant avec pour seul pressentiment de fuir ce lieu où les dangers sont bien réels, le sentiment de sauver sa vie.
Dès le début, le ton est donné, Cécile Duquenne ne fait pas dans la demi-mesure, rien ne vous sera épargné, alors bienvenue dans la sinistre tour. Elle nous entraîne dans un univers de plus en plus dangereux, dans un jeu un peu pervers sur les bords entre la tour et la protagoniste. Chaque étage a le droit à son lot d’épreuves, de révélations, le tout dans une ambiance lugubre, mystérieuse comme j'aime. Un style vif, incisif, fluide et agréable, elle va droit au but sans aucune fioriture.
Si l’ambiance et l’histoire sont vraiment réussies, les personnages le sont aussi. Ces derniers sont vraiment bien travaillés, ils sont réalistes, imparfaits mais surtout attachants. J’aime ce genre de personnages, perturbés et faillibles. J’ai adoré Jessica qui a beaucoup de mordant. On sent une partie sombre en elle, tout comme une certaine fragilité. Cela crée une certaine complexité qui fait qu’on s’attache facilement à elle. On veut la voir gravir chaque étage, on veut vivre chaque épreuve avec elle.
La Tour de Cécile Duquenne est un « roman » qui enivre les sens, vous entraine dans une ambiance parfaitement angoissante, dans un rythme endiablée mais qui donne matière à réfléchir. J’ai vraiment pris plaisir à découvrir cette histoire, la tour reste encore intrigante, j’aimerais suivre une nouvelle ascension aussi addictive. En tout cas, Cécile Duquenne est un auteur que je vais continuer à suivre, son style m’ayant vraiment séduite.
_____________________________________________________________
La Tour
Cécile Duquenne
Auto-édition & Edition Voy'[el]
Il a vraiment l'air pas mal!
RépondreSupprimerIl a pas seulement l'air! il est pas mal du tout!
SupprimerBelle chronique pour un petit livre! Il me tente aussi beaucoup :)
RépondreSupprimerMerci! il sort en format papier sinon il est disponible sur amazon
SupprimerJ'ai le premier tome des Foulards Rouges dans ma PAL, il faut que je le lise :)
RépondreSupprimerJ'ai aussi le premier tome des Foulards rouges dans ma PAL... faut que je trouve le temps pour le lire
SupprimerOui dommage mais cela reste une excellente histoire! Personnellement je te la conseille vraiment!
RépondreSupprimer