Il y a huit ans, la jeune Malin, alors adolescente, a découvert une
fillette enterrée dans la forêt de Ormberg, une ville suédoise isolée.
On n’a jamais pu identifier la petite victime.
Devenue une jeune flic ambitieuse, Malin est affectée auprès de Hanne, la célèbre profileuse, et de l’inspecteur Peter Lindgren, qui reprennent l’affaire. Mais Peter disparaît du jour aunlendemain, et Hanne est retrouvée blessée et hagarde dans la forêt.
Le seul témoin est un adolescent qui aime errer dans les bois enneigés, la nuit. Sans le dire à personne, il récupère le journal que Hanne a laissé tomber et se met à le lire, fasciné…
Désormais seule dans son enquête, Malin est appelée sur les lieux du tout premier crime : une nouvelle victime a été découverte. Et si tous ces faits étaient tragiquement liés ?
Devenue une jeune flic ambitieuse, Malin est affectée auprès de Hanne, la célèbre profileuse, et de l’inspecteur Peter Lindgren, qui reprennent l’affaire. Mais Peter disparaît du jour aunlendemain, et Hanne est retrouvée blessée et hagarde dans la forêt.
Le seul témoin est un adolescent qui aime errer dans les bois enneigés, la nuit. Sans le dire à personne, il récupère le journal que Hanne a laissé tomber et se met à le lire, fasciné…
Désormais seule dans son enquête, Malin est appelée sur les lieux du tout premier crime : une nouvelle victime a été découverte. Et si tous ces faits étaient tragiquement liés ?
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Pour son second roman, Camilla
Grebe délaisse les méandres de la psyché humaine pour nous livrer les sombres
secrets enterrés d’un village.
Plantons le décor de ce polar
venu du Nord ! Dans son sillage, un ancien meurtre dont la jeune fille n’a
jamais été identifiée, une nouvelle
victime découverte relance l’enquête. Un inspecteur disparu et une profileuse
retrouvée hagarde et blessée dans la forêt ! Et si tous ces faits étaient
tragiquement liés ?
Le journal de ma disparition est construit comme le premier roman.
Au fil des pages, Camilla Grebe distille une ambiance typique des polars
nordiques, froide qui peut glacer le sang. Il faut reconnaitre ce petit défaut
venu du nord, les auteurs aiment prendre leurs temps. Cette « lenteur »
est parfaitement maitrisée. Cela lui permet de brosser des portraits de
personnages très réalistes et très complexe, ainsi que de révéler une intrigue
plutôt bien ficelée et complexe.
Camilla Grebe fait évoluer son
intrigue au travers de ses personnages. Elle en fait une force. Oui, l’enquête
n’est pas forcément au premier plan mais cela n’est pas dérangeant, ne gâche en
rien le plaisir que l’on prend à découvrir ce récit, ainsi que les sombres
secrets des différents personnages et de cette petite ville enseveli sous la
neige.
Avec Le journal de ma
disparition, l’auteur prouve une nouvelle fois qu’il n’y a pas besoin de beaucoup
d’actions pour happer le lecteur. Les différents rebondissements de ce récit choral
suffisent à livrer une histoire qui en vaut la peine ! J’ai hâte de
retrouver Malin dans L’ombre de la baleine !
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Le journal de ma disparition
Camilla Grebe
Calmann-Lévy
Je tiens à remercier la maison Calmann-Lévy pour l’envoi de ce livre.
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